Communiqués de presse

427 Résultats de recherche
27 janvier 2021

Covid-19: le Conseil fédéral répond aux exigences de l’usam et des PME

L’Union suisse des arts et métiers usam se félicite du doublement de l’aide aux cas de rigueur et de la prolongation du régime simplifié du chômage partiel. L’usam juge également positive la possibilité de raccourcir la période de quarantaine. Le Conseil fédéral a ainsi répondu à différentes exigences for­mu­lées par l’usam et les PME. En revanche, l’usam ne comprend tou­­jours pas que le Conseil fédéral con­ti­nue d’argumenter avec des données insuffisamment fiables telles que la valeur R. Il est nécessaire de revenir au concept de la protection ciblée et de prendre des mesures fondées sur des preuves.

27 janvier 2021

Réforme LPP: pas un compromis des partenaires sociaux mais une duperie

Les syndicats et une partie de l’Union patronale suisse veulent introduire des suppléments de rente dans la pré­voyance professionnelle. Leur propo­sition consiste en une redistribution coûteuse et contraire au système, à laquelle s’opposent une majorité des organisations patronales et les partis bourgeois. En toute logique, cette proposition a été clairement rejetée dans le cadre de la procédure de consultation. Qualifier ce modèle de compromis des partenaires sociaux est une duperie flagrante.

20 janvier 2021

L’usam rejette la privatisation contradictoire de PostFinance

Le Conseil fédéral veut privatiser partiellement PostFinance afin qu’elle puisse également opérer sur le marché des crédits et des hypothèques. L’Union suisse des arts et métiers usam rejette ce projet, qui sert exclusivement les intérêts de PostFinance. Le marché suisse des crédits et des hypothèques est bien approvisionné et n’a pas besoin d’un acteur fédéral. La décision est contradictoire, car le Conseil fédéral lui-même admet que la Confédération devra injecter des fonds propres dans PostFinance. Il ne s’agit donc pas d’une véritable privatisation.

19 janvier 2021

Les mesures de lutte contre le coronavirus ne doivent pas hypothéquer l’avenir des apprentis

L’Union suisse des arts et métiers usam demande que les écoles profession­nelles restent ouvertes, même dans le cas d’une éventuelle fermeture des écoles à partir du degré secondaire II. Les connaissances pratiques ne peuvent se transmettre à distance. Une fermeture hypothéquerait plusieurs cohortes d’apprentis et nuirait ainsi considérablement à leur vie profes­sion­nelle future. L’usam appelle en outre les écoles à encourager davan­tage les jeunes à effectuer des stages de découverte. Les entreprises sont prêtes!

13 janvier 2021

L’usam critique l’introduction de mesures ne reposant pas sur des données probantes

L’Union suisse des arts et métiers usam critique les décisions prises aujourd’hui par le Conseil fédéral. Ces mesures sont décidées sans qu’il n’y ait de preuves d’un risque d’infection accru dans les domaines concernés. Malgré la stagnation, voire une légère baisse des chiffres, des mesures dispro­por­tionnées sont introduites visiblement à l’image de ce qui se fait à l’étranger. Pour l’usam, l’extension des aides prévues dans l’ordonnance sur les cas de rigueur va dans la bonne direction.

12 janvier 2021

Un accord pionnier pour un commerce durable et équitable

Le 7 mars 2021, nous nous pronon­cerons sur un important accord de libre-échange à caractère pionnier! Pour la première fois, un État, en l’occu­rrence l’Indonésie, se déclare prêt à lier des concessions douanières à des prescriptions contraignantes en ma­tière de durabilité. Cet accord ne sou­tient donc pas uniquement le com­merce et par là même la place éco­no­mique et industrielle suisse, mais il favorise aussi la durabilité et l’équité.

18 décembre 2020

La proposition de compromis de l’usam pour le commerce de détail s’est imposée

L’Union suisse des arts et métiers usam constate avec satisfaction que le Conseil fédéral a répondu à sa propo­sition de compromis concernant le commerce de détail. Pour le reste, le Conseil fédéral continue en revanche de naviguer à l’aveugle. Les chiffres de l’OFSP lui-même réfutent l’affirmation selon laquelle les établissements de restauration comptent parmi les lieux de fréquente contamination. L’usam critique donc vivement la fermeture de ces établissements tout comme la fermeture des établissements de loi­sirs. Le retrait de la liberté économique engendre une perte de chiffre d’affaires de 2,5 milliards de francs pour les seuls restaurants et de 800 millions de francs pour le secteur des loisirs. L’usam exige que la Confé­dé­ration indemnise ces pertes.

11 décembre 2020

L’usam déplore les décisions du Conseil fédéral

L’Union suisse des arts et métiers usam doute que les mesures décidées per­mettent aux entreprises concernées de travailler dans des conditions éco­no­miquement acceptables. La fermeture des restaurants le soir et des commerces de détail le dimanche va entraîner des pertes massives pour les entreprises, alors même qu’il n’est toujours pas établi que les secteurs en question sont des foyers de conta­mi­nation. Les ressources supplé­men­taires allouées au fonds de soutien aux cas de rigueur sont les bienvenues, mais la solution concrète reste à définir. L’objectif premier demeure la prévention d’un lockdown.

10 décembre 2020

Réactions des PME: les mesures du Conseil fédéral suscitent l’indignation des membres de l’Union suisse des arts et métiers usam

Demain, vendredi 11 décembre, le Conseil fédéral décidera de l’entrée en vigueur de mesures draconiennes pour lutter contre la pandémie de coro­na­virus. Les entrepreneures et entre­preneurs à la tête de PME le disent sans ambages: empêcher les ventes de Noël sonne comme une gifle pour les entreprises. De nombreuses personnes directement concernées disent, de manière claire et nette, quelles en seront les conséquences.

8 décembre 2020

Pas de nouvelles mesures sans preuves: l’usam se montre critique envers le durcissement des mesures

L’Union suisse des arts et métiers usam se montre critique envers le durcisse­ment des mesures prévues par le Conseil fédéral. Une fois de plus, les mesures touchent le secteur de la res­tau­ration, le commerce de détail et les petites entreprises artisanales. Et pour­tant, le Conseil fédéral n’a pu fournir la preuve qu’il s’agit en l’occurrence de sources de dangers. Tant que cette preuve n’est pas apportée, la plus grande organisation faîtière de l’éco­no­mie suisse s’oppose au durcissement des mesures. Les coûts qu’elles entraînent augmentent de manière exponentielle pour les PME. Il faut dans tous les cas éviter de rendre le télé­travail obligatoire et de reconfiner.

Nos partenaires

Haut de page