Avec ce projet le Conseil fédéral ne défend pas les intérêts de la Suisse. En ce qui concerne la protection des données et la réciprocité, il se décrit comme un observateur privilégié qui dénoncerait les manquements à leurs devoirs de certaines places financières comme Hong-Kong, Singapour, Londres ou encore New-York. Bon élève, va ! Les négociations devaient maintenir l’accès au marché à son niveau actuel et permettre des améliorations, aujourd’hui le Conseil fédéral parle toujours et encore « de premières discussions exploratoires ». Au lieu de négocier fermement, il use du conditionnel à toutes les sauces aussi pour la question de la régularisation du passé.
Pour l’usam c’est exclu d’accepter n’importe quelle version et de s’engager comme un bon élève à chaque fois. L’usam rejette cet accord qui n’est pour l’heure encore qu’à l’état de projet !