L’adoption de l’initiative pour des entreprises responsables aurait imposé des prescriptions restrictives qui auraient pesé sur notre place économique tournée vers l’extérieur. Elle aurait entravé le développement et le progrès, car les entreprises suisses veillent aujourd’hui déjà au développe-ment et à l’amélioration des normes de travail et du niveau de vie dans le monde.
Le contre-projet élaboré par le Parlement constitue une meilleure solution. Il suit l’évolution inter-nationale et crée des obligations plus contraignantes pour les entreprises. Mais contrairement à l’initiative, il n’introduit pas de réglementation suisse spéciale et dommageable.